Logements rue Stéphanie
Le site, un coin d’îlot, est délimité par la rencontre entre la rue Stéphanie et la rue Princesse Clémentine à Laeken.
La relation du bâti projeté avec l’intérieur de l’îlot est atypique. En effet, tenant compte de la largeur de la parcelle disponible, les logements disposeront de vues directes sur les espaces privatifs d’une école existante (parking et cours de récréations).
Dans l’intérêt de tous, et dans le cadre d’une relation de bon voisinage, il est décidé qu’en échange du gain de prises de vues pour les logements, le projet intégrera la construction d’un préau destiné aux enfants.
L’immeuble projeté préserve l’accès vers l’intérieur de l’îlot (parking école, accès véhicules d’interventions) et anticipe sur le devenir possible (démolition et reconstruction) du pavillon scolaire situé en retrait d’alignement, le long de la rue Princesse Clémentine. Le projet propose donc, côté Clémentine, un pignon « en attente » dont la hauteur autoriserait la construction de nouveaux bâtiments aux gabarits adaptés à la morphologie de cette rue secondaire.
La parcelle donnée est particulièrement fine et longue (54 mètres). Deux circulations verticales distinctes structurent de manière efficace le système d’accès vers les 18 appartements développés aux étages supérieurs. Chaque palier d’accès aux logements profite d’une vue vers l’extérieur, d’une lumière naturelle de qualité et d’un petit espace à partager entre les occupants d’un même niveau.
Le rez-de-chaussée est entièrement dédié au restaurant social et à tous les locaux nécessaires à son bon fonctionnement (cuisine, locaux sociaux, livraisons,…). La salle de restaurant profite d’une vision filtrée vers le domaine public, et réciproquement. Une forme d’intimité s’impose. L’organisation spatiale du restaurant de 150 couverts offre un équilibrage de la lumière naturelle. Les volumes des étages supérieurs sont « travaillés » afin de permettre à un rayon de soleil d’envahir, à l’heure du repas de midi, l’espace orienté Nord. Les cœurs se réchauffent !
L’intervention artistique de Jean Glibert intensifie l’expérience d’un espace qui se veut généreux pour le citoyen souvent fragilisé et en recherche de réconfort.
La relation du bâti projeté avec l’intérieur de l’îlot est atypique. En effet, tenant compte de la largeur de la parcelle disponible, les logements disposeront de vues directes sur les espaces privatifs d’une école existante (parking et cours de récréations).
Dans l’intérêt de tous, et dans le cadre d’une relation de bon voisinage, il est décidé qu’en échange du gain de prises de vues pour les logements, le projet intégrera la construction d’un préau destiné aux enfants.
L’immeuble projeté préserve l’accès vers l’intérieur de l’îlot (parking école, accès véhicules d’interventions) et anticipe sur le devenir possible (démolition et reconstruction) du pavillon scolaire situé en retrait d’alignement, le long de la rue Princesse Clémentine. Le projet propose donc, côté Clémentine, un pignon « en attente » dont la hauteur autoriserait la construction de nouveaux bâtiments aux gabarits adaptés à la morphologie de cette rue secondaire.
La parcelle donnée est particulièrement fine et longue (54 mètres). Deux circulations verticales distinctes structurent de manière efficace le système d’accès vers les 18 appartements développés aux étages supérieurs. Chaque palier d’accès aux logements profite d’une vue vers l’extérieur, d’une lumière naturelle de qualité et d’un petit espace à partager entre les occupants d’un même niveau.
Le rez-de-chaussée est entièrement dédié au restaurant social et à tous les locaux nécessaires à son bon fonctionnement (cuisine, locaux sociaux, livraisons,…). La salle de restaurant profite d’une vision filtrée vers le domaine public, et réciproquement. Une forme d’intimité s’impose. L’organisation spatiale du restaurant de 150 couverts offre un équilibrage de la lumière naturelle. Les volumes des étages supérieurs sont « travaillés » afin de permettre à un rayon de soleil d’envahir, à l’heure du repas de midi, l’espace orienté Nord. Les cœurs se réchauffent !
L’intervention artistique de Jean Glibert intensifie l’expérience d’un espace qui se veut généreux pour le citoyen souvent fragilisé et en recherche de réconfort.
Lieu:
Laeken
Maître d'ouvrage:
CPAS de Bruxelles
Statut:
Réalisé
Type de marché:
Procédure négociée avec publicité européenne
Date:
2009-2015
Coût:
5.915.319,00 € htva
Ingénieur Stabilité:
SGI Ingénieurs s.a.
Ingénieurs techniques spéciales:
SGI Ingénieurs s.a.
Consultant(s):
EcoRce s.p.r.l. / Jacques Fryns / Jean Glibert
Entrepreneur(s):
Thiran s.a.
Crédits photos/images:
Jacques Breuer (photos maquette) / Maud Faivre (photos bâtiment)
