
Interlac - Media / Culture
Après le lait, le chancre, monstre de l’époque industrielle, en cœur de ville,….à vendre !
Acquis en 2001 par un acteur privé, deux moyennes surfaces s’y installent au rez-de-chaussée dans une logique purement économique. Après huit années d’un désintérêt relatif pour le site, la ville de Dison cherche à structurer un projet offrant l’accès aux Fonds structurels européens. Dans le cas présent, ce sont les fonds qui stimulent la recherche d’un projet. Le projet « européen » de la ville sera un projet citoyen, ouvert, dédié à la culture et aux médias. Une logique non-marchande s’associe alors à la fabrication de ce « morceau de ville » de ce nouveau « quartier thématique ». À partir de ce moment, le projet alimente le projet.
Un pôle associant média, communication, activités économiques et culture naît de cette métamorphose dans une commune au profil socioéconomique dégradé comme un vecteur de reconversion et de cohésion sociale. Une lanterne au sommet de trois hautes colonnes en béton, vestige du cheminement gravitaire du lait devient phare pour une ville en détresse…
Le monstre devenu aujourd’hui machine célèbre une démarche unique en ce qui concerne l’évolution d’un dossier, naviguant entre enjeux urbains et architecturaux, entre privé et public, entre anticipation et ajustement permanent.
L’ancienne laiterie est devenue un véritable outil pour l’ensemble des utilisateurs, un morceau de ville , un « quartier thématique » associant aux espaces privés des espaces communs : salle de spectacles de 180 places assises, brasserie-restaurant pour 70 couverts, espaces multifonctionnels de 900m2. Ces espaces peuvent fonctionner en autonomie ou de manière mutualisée permettant une multiplicité d’usages et d’appropriations. Le lieu peut ainsi devenir (de manière simultanée ou non) un centre de congrès, un espace événementiel, un lieu de représentation (musique, théâtre, danse), un hall des foires, un espace de banquet, d’expositions, de co-working, etc.
Acquis en 2001 par un acteur privé, deux moyennes surfaces s’y installent au rez-de-chaussée dans une logique purement économique. Après huit années d’un désintérêt relatif pour le site, la ville de Dison cherche à structurer un projet offrant l’accès aux Fonds structurels européens. Dans le cas présent, ce sont les fonds qui stimulent la recherche d’un projet. Le projet « européen » de la ville sera un projet citoyen, ouvert, dédié à la culture et aux médias. Une logique non-marchande s’associe alors à la fabrication de ce « morceau de ville » de ce nouveau « quartier thématique ». À partir de ce moment, le projet alimente le projet.
Un pôle associant média, communication, activités économiques et culture naît de cette métamorphose dans une commune au profil socioéconomique dégradé comme un vecteur de reconversion et de cohésion sociale. Une lanterne au sommet de trois hautes colonnes en béton, vestige du cheminement gravitaire du lait devient phare pour une ville en détresse…
Le monstre devenu aujourd’hui machine célèbre une démarche unique en ce qui concerne l’évolution d’un dossier, naviguant entre enjeux urbains et architecturaux, entre privé et public, entre anticipation et ajustement permanent.
L’ancienne laiterie est devenue un véritable outil pour l’ensemble des utilisateurs, un morceau de ville , un « quartier thématique » associant aux espaces privés des espaces communs : salle de spectacles de 180 places assises, brasserie-restaurant pour 70 couverts, espaces multifonctionnels de 900m2. Ces espaces peuvent fonctionner en autonomie ou de manière mutualisée permettant une multiplicité d’usages et d’appropriations. Le lieu peut ainsi devenir (de manière simultanée ou non) un centre de congrès, un espace événementiel, un lieu de représentation (musique, théâtre, danse), un hall des foires, un espace de banquet, d’expositions, de co-working, etc.
Lieu:
Dison
Maître d'ouvrage:
Administration Communale de Dison
Statut:
Réalisé
Type de marché:
Appel d'offres général avec publicité européenne
Date:
2007-2013
Coût:
7.132.028,00 € htva
Ingénieur Stabilité:
Bureau d'études Lemaire s.a.
Ingénieurs techniques spéciales:
Bureau d'études Lemaire s.a.
Consultant(s):
L'Escaut s.p.r.l. / Jacques Fryns / ATS s.p.r.l. / Objectif Régie / Atelier Paysage
Entrepreneur(s):
Wust s.a. / Galère s.a.
Crédits photos/images:
Jacques Breuer (photos maquette) / Alain Janssens (photos bâtiment) / A.D.R. (photo aérienne)
Publications
Réhabiliter une cathédrale
février 2016



































